top of page

Mutualiser

Écologie Industrielle et Territoriale (EIT)

Si l’on considère l’ensemble des activités industrielles comme un écosystème, on s’aperçoit qu’il est extrêmement « immature » par comparaison avec les écosystèmes naturels. En effet, les différentes espèces présentes dans un écosystème naturel ont développé de nombreuses interactions, chaque espèce assure plusieurs fonctions et chaque fonction est remplie par plusieurs espèces, ce qui permet à l’écosystème naturel d’être à la fois très productif et résilient.

A contrario, les différentes entreprises d’un écosystème industriel sont généralement juxtaposées sans liens les unes avec les autres, ce qui nuit à l’efficacité globale et rend l’écosystème industriel fragile.

Dans ce contexte, l’écologie industrielle et territoriale consiste à faire émerger, par le dialogue entre les entreprises d’un même territoire, des pistes de mutualisation et de synergies, puis à les mettre en œuvre. Très concrètement, il peut s’agir de partager une station de lavage de camions, de négocier à plusieurs un contrat de prestation de ménage, d’acquérir un équipement à plusieurs… La valorisation des déchets, par exemple de papier et carton, se prête bien à l’exercice. 

acv analyse de cycle de vie éco conception éco-conception écoconception éco-innovation écoinnovation innovation

Gingko 21 accompagne le quartier des Deux Rives, dans Paris intra-muros, ainsi que quatre zones d’activité en Corse dans une démarche d’Écologie Industrielle et Territoriale.

Nous avons également formé début mars 2017 les conseillers environnement de la CCI de Paris-Ile de France sur ce thème.
Voir Nos références pour plus de détails

"L’objectif, pour l’ADEME, de mobiliser 4 zones d’activités dans des démarches d’écologie industrielle et territoriale et d’en identifier des solutions a été atteint. La pertinence méthodologique de Gingko21 a permis de mettre en situation les acteurs publics comme privés de chaque zone afin de faire émerger des pistes réalistes et partagées, gage d’une réussite."

Pierre-Olivier Filippi, Direction Régionale Corse, ADEME

bottom of page